Ta beauté
Couronne, gants velours et de crimes
Qui s’étirent comme de la guimauve
Gaine d’aragnes faite
Recouvrant les doigts impolis
Et ça, ce petit plus, par l’au-delà du delà du temps.
Lac de haute montagne à peine effleuré
Pleinitude, rondeur chaude
Des flemmes ardentes
Dansant dans le vent et la pluie
Et ça, ce petit plus, par l’au-delà du delà du temps.
Orages, monstres glacés
Brise limpide ou torturée
Dans la boîte à jamais scellée
L’au-delà de la mer
Et ça, ce petit plus, par l’au-delà du delà du temps.
Je. Tu. Herbe folle écrasée
Zig-zagante et titubante
Vers des lointains retors
Des viols inassouvis
Et ça, ce petit plus, par l’au-delà du delà du temps.
Chausssures serrées
Fatigue émue éperdue
Tendresse dormante
A pas de loup évanoui
Et ça, ce petit plus, par l’au-delà du delà du temps.
Brouillard éteint sur les rivages
Que le souffle dissipe, emporte ailleurs
Au-delà de la mer si lointain
Mes yeux humides
Par l’au-delà de l’au-delà du temps.
Marche aux rudes chemins
du désir et vole dans l'air fripon
rives imprécises
aux carnassières dents
Et ça, ce petit plus, par l'au-delà de l'au-dela du temps
Et puis, ce petit plus
Surtout ce petit plus
Toujours ce petit plus
Mais rien que lui
Par delà l’au-delà de l'au-dela de la vie et du temps :
Ta beauté. Juste et seulement ta beauté.
Qui s’étirent comme de la guimauve
Gaine d’aragnes faite
Recouvrant les doigts impolis
Et ça, ce petit plus, par l’au-delà du delà du temps.
Lac de haute montagne à peine effleuré
Pleinitude, rondeur chaude
Des flemmes ardentes
Dansant dans le vent et la pluie
Et ça, ce petit plus, par l’au-delà du delà du temps.
Orages, monstres glacés
Brise limpide ou torturée
Dans la boîte à jamais scellée
L’au-delà de la mer
Et ça, ce petit plus, par l’au-delà du delà du temps.
Je. Tu. Herbe folle écrasée
Zig-zagante et titubante
Vers des lointains retors
Des viols inassouvis
Et ça, ce petit plus, par l’au-delà du delà du temps.
Chausssures serrées
Fatigue émue éperdue
Tendresse dormante
A pas de loup évanoui
Et ça, ce petit plus, par l’au-delà du delà du temps.
Brouillard éteint sur les rivages
Que le souffle dissipe, emporte ailleurs
Au-delà de la mer si lointain
Mes yeux humides
Par l’au-delà de l’au-delà du temps.
Marche aux rudes chemins
du désir et vole dans l'air fripon
rives imprécises
aux carnassières dents
Et ça, ce petit plus, par l'au-delà de l'au-dela du temps
Et puis, ce petit plus
Surtout ce petit plus
Toujours ce petit plus
Mais rien que lui
Par delà l’au-delà de l'au-dela de la vie et du temps :
Ta beauté. Juste et seulement ta beauté.